Vous avez probablement entendu ce mot - monstre. Vous les avez peut-être même rencontrés dans les rues. Ils ne peuvent pas être négligés. Ils attirent l'attention où qu'ils se trouvent. Alors qui sont-ils?
Frick est une définition collective pour les personnes qui utilisent leur apparence comme moyen d'expression de soi et, en même temps, ne font partie d'aucune des sous-cultures existantes. Ils créent des images fondamentalement nouvelles, sans avoir peur de paraître ridicules ou laides. Pas étonnant que le mot «freak» lui-même soit traduit de l'anglais par «freak». Un monstre est une personne qui est souvent sujette à l'exagération. Il n'a aucun sens des proportions. Si vous percez - donc tout le visage, si vous le teintez - alors pour que la mère ne le reconnaisse pas.
La sous-culture des monstres n'a pas de philosophie spécifique. Oui, et l'esthétique aussi. Ce ne sont que des gens qui s'efforcent de se distinguer de la masse grise en utilisant des moyens visuels. Bien sûr, chacun d'eux a sa propre philosophie et ses propres convictions, ce qui a conduit à une sortie aussi extravagante. Mais ils se joignent rarement à des groupes avec leur propre genre et, par conséquent, vous ne rencontrerez probablement jamais deux monstres identiques.
Les monstres n'ont pas d'attributs communs et obligatoires. En règle générale, chacun choisit pour lui-même le style qui suit. Contrairement à la croyance populaire, les piercings et les tatouages ne sont pas non plus des attributs des monstres (rappelez-vous la même Marilyn Manson). Mais le plus souvent, ils ont encore des modifications corporelles (des cheveux teints aux implants sous-cutanés). Cela dépend de la philosophie individuelle de l'homme. Après tout, un monstre est, tout d'abord, une personne qui défie l'opinion publique et change d'apparence en fonction de son attitude.
Des monstres peuvent être trouvés partout. Mais, en règle générale, la plupart d'entre eux se trouvent dans des pays post-industriels développés.
Les monstres japonais sont particulièrement célèbres, qui, avec leur apparence, peuvent facilement choquer un public inhabituel. C'est compréhensible, car la culture visuelle au Japon a atteint un niveau élevé. Dans ce pays, l'expression de soi en changeant son apparence est courante et perçue normalement. Dans notre pays, les gens ne sont pas encore habitués à de telles "bouffonneries", par conséquent, beaucoup considèrent les monstres comme "sauvages" et "anormaux". Un tel manque de tolérance doit être expliqué par les échos de la culture soviétique, lorsque l'égalité universelle a été acceptée comme un idéal et que l'apparence distinguée n'a pas été bien accueillie. Et en Europe, pendant ce temps, la culture des monstres est florissante, trouvant de plus en plus de nouveaux moyens d'expression.
Les monstres, en règle générale, ne sont pas agressifs envers les autres s'ils ne ressentent pas de pression de leur part. Ce sont des gens qui ont trouvé l'harmonie en eux-mêmes, même d'une manière un peu étrange. Par conséquent, l'opinion selon laquelle les monstres sont dangereux est injustifiée. Ils s'affirment non pas par la violence contre les autres, mais par leur apparence, ils traitent donc les gens pacifiquement.
Frick est, en général, la même personne que tout le monde, ne choisissant qu'un mode d'expression différent. Si d'autres se déclarent, créent quelque chose de nouveau, communiquent avec les autres ou font simplement activement ce qu'ils aiment, les monstres le font, se démarquant de l'extérieur.
