Zhiryanka commune - une plante du genre Pinguicula. Vivace et insectivore représentative de la flore. Le seul représentant de cette famille qui a un système racinaire, bien que très petit, est affecté à la famille des pemphigus.
La plante tire son nom de ses feuilles charnues et huileuses, très juteuses et couvertes de multiples glandes. Et de la langue latine, pinguis se traduit par "gras". C'est une relique de la période glaciaire.
Description botanique
La principale caractéristique distinctive du puffy commun est la présence de racines, que le reste de la famille n'a pas.
Une rosette basale est formée de feuilles. La surface même de la feuille est recouverte de plusieurs morceaux de fer. Certaines glandes sécrètent du mucus de sucre. Ce liquide est l'appât pour les insectes. Une autre partie des glandes est responsable de la digestion des aliments capturés, par la production d'enzymes spéciales.
Le fer sur la feuille d'une plante est d'environ 25 000 pour 1 centimètre. Mais chacun d'eux ne remplit sa fonction qu'une seule fois pendant toute la vie d'une grosse femme. Au moment où la plupart des glandes sont déjà incapables, la feuille meurt complètement.
Les feuilles de la plante ont une couleur verte et une forme elliptique. Longueur - de 2 à 4 centimètres. La largeur à la base est d'environ 0, 6 cm, à la fin elle s'étend à 2 cm.
Les fleurs sont situées sur de longs pédoncules, solitaires. La couleur du bourgeon peut être rose, violette ou bleue. Les fleurs blanches sont très rares. Les fruits sont présentés sous forme de boîtes.
Distribution
La plante de papaver a une gamme de croissance assez large. Pour cette raison, il existe des espèces résistantes et instables au gel.
L'usine se trouve au Japon et en Europe, dans les Andes et en Amérique du Nord, sur le continent asiatique.
Zhiryanka préfère les tourbières et simplement les zones humides, c'est-à-dire les endroits où il y a beaucoup d'insectes. Cependant, lors du drainage (artificiel ou naturel), la plante meurt très rapidement, de sorte que presque tous les habitats du papaver sont pris sous protection.
En Russie, il existe environ 6-7 espèces. L'espèce la plus commune est le macareux moine, on peut le voir sous les latitudes nordiques. Et dans l'Oural, une espèce alpine se développe. Au Mexique, on ne trouve que deux espèces: le gypse et la coupe ronde.
Manière de puissance
La plante se nourrit d'insectes volants, qui attire avec son mucus doux sur les feuilles. Si la proie est suffisamment grande, les feuilles sont légèrement recourbées pour que la victime ne puisse pas se libérer.
En une saison, la plante est capable d'absorber plusieurs centaines d'insectes volants.
Protection des plantes
En raison de la faible adaptabilité environnementale et de la compétitivité, l'usine est répertoriée dans le Livre rouge de nombreuses régions. En particulier, depuis 2005, il est protégé dans la région de Tcheliabinsk, depuis 1981 - au Bélarus. Il est également protégé au niveau de la législation en Ukraine, en Lettonie et en Pologne.
Variétés
L'espèce la plus commune est le macareux moine, poussant même dans la toundra et les montagnes de l'hémisphère nord. Une espèce alpine pousse sous ces latitudes, et préfère également une ceinture de montagne, mais où il y a beaucoup d'humidité.
Le gypse et le gypse ronds poussent au Mexique. La variété Moran se trouve au Guatemala et au Mexique.
L'espèce à feuilles plates est assez rare et ne pousse que le long de la partie nord du golfe du Mexique, de la Louisiane à la Floride.
La cicadelle de Vallisnerian pousse uniquement dans le sud de l'Espagne. Les feuilles de la plante ressemblent plus à de l'herbe à gazon. Depuis 1997, il est au bord de l'extinction.
À Cuba, une espèce filamenteuse est courante. Une espèce à floraison violette n'est présentée que sur la péninsule de Floride. Une caractéristique de la plante est que les fleurs sont blanches et violettes à l'intérieur.
On trouve de l'herbe grasse à Chypre et en Turquie.
Dans de nombreuses régions, ces fleurs insectivores ont complètement disparu en raison du développement de dépôts de tourbe et du drainage des marécages.
Reproduction, soins à domicile
Contrairement à la plupart des fleurs prédatrices, une femme gonflée s'adapte bien aux conditions de vie, bien que cela nécessite beaucoup d'attention dans le processus de soins.
L'usine à la maison doit être dans une pièce sombre, très loin du chauffage central. En aucun cas, la lumière directe du soleil ne doit tomber sur la fleur, sinon elle peut mourir.
En été, il est nécessaire de maintenir la température de l'air à +28 degrés, mais pas plus. En hiver, une grosse femme tolère une bonne température au niveau de + 10-15 degrés.
La condition principale pour la survie des plantes à la maison est une humidité élevée. Il est préférable de conserver la fleur dans un terrarium spécial, c'est-à-dire un pot fermé. Une floraison régulière signalera que la plante se sent bien.
Le sol même de la bouffée doit toujours être modérément humide, il est préférable d'arroser à travers une palette. Il est préférable d'arroser la plante avec de l'eau distillée ou de l'eau bouillie, c'est-à-dire qu'elle doit être douce et sans impuretés salines.
La croissance de ce représentant de la flore est très lente.
Transplantation et reproduction
Comme la plupart des fleurs prédatrices, une femme gonflée n'a pas besoin d'une greffe. Avec le début du premier temps froid, la vieille plante meurt et des bourgeons d'hivernage se forment à la place. Ce sont eux au printemps qui seront la nouvelle usine.
Pour obtenir une nouvelle plante, vous pouvez utiliser les graines. Ils sont simplement placés dans un sol humide et, dans quelques semaines, une nouvelle plante poussera. De plus, pendant la préparation de l'hiver, les bourgeons hivernants peuvent être divisés en tubercules et au printemps, ils peuvent être plantés dans différents pots.
La maladie
Du fait que la plante se nourrit d'insectes, elle n'est affectée par aucune maladie, car la fleur les digère simplement. Une grosse femme peut mourir seulement à cause de soins inadéquats. Un arrosage excessif conduit souvent à la formation de pourriture.
